Pilea Studio – Design Graphique

« Ton logo est fait maison ? Les tips » — titre en blanc sur fond déco (buste noir, vase marbré, paon doré) pour un article conseils logo DIY.

Tu as créé ton logo toi-même ?
Voici comment le valider… et quand passer le relais à un pro

Bravo d’avoir osé. Concevoir ton logo seul, c’est courageux et souvent nécessaire quand tu démarres ton activité. Mais entre un logo “qui tient debout” et une identité professionnelle, il y a des détails invisibles qui font toute la différence : lisibilité en très petit, contrastes accessibles, déclinaisons propres pour le web et le print, fichiers vectoriels impeccables, cohérence d’ensemble avec ta promesse. Commençons par valider l’essentiel, puis voyons pourquoi l’œil d’un pro fait monter la qualité d’un cran — et t’épargne des heures de bidouilles. Allez, je t’explique tout ça ! 

Est-ce que ta cible s’y reconnaît ?

Tu n’as pas besoin qu’il te plaise, tu as besoin qu’il parle à ceux que tu veux convaincre. Montre ton logo à quelques personnes proches de ta cible et écoute les trois premiers mots qui leur viennent. Si les réponses divergent, ce n’est pas la faute du public : c’est un manque de clarté du signe. Un pro teste ces perceptions, ajuste les proportions, renforce l’élément distinctif et sécurise l’accessibilité (contrastes, épaisseur des traits, choix de typo) pour que le message soit compris rapidement, par plus de monde, dans plus de contextes.

Cible jaune et blanche avec deux fléchettes sur fond rose pastel, symbole d’objectifs et de cible client pour l’identité de marque.

Est-ce qu’il fonctionne partout,
du site aux minis formats… et à l’impression ?

Un logo n’est pas un seul fichier, c’est un petit système. Il doit exister en version principale, en alternative horizontale pour les espaces étroits, et en icône quand l’espace manque. Il doit rester propre en noir et blanc, sur fond clair comme sur fond sombre. Techniquement, il te faut un SVG léger pour le web, un PNG transparent pour les usages courants et un PDF vectoriel pour l’impression. C’est là que beaucoup de logos “maison” coincent : pixelisation, épaisseur trop fine qui disparaît, couleurs qui virent à l’impression, absence de marges de protection. Un pro anticipe ces contraintes, définit des tailles minimales, livre les bonnes déclinaisons et t’évite les surprises au moment de poser le logo en favicon, sur une facture ou sur une enseigne.

Est-ce que tu en es fier·e aujourd’hui… et dans six mois ?

Le test du temps est imparable. Si tu hésites déjà à l’assumer sur une vitrine, un tote bag ou un pull, c’est qu’il manque un réglage quelque part : espacement de lettres, hiérarchie formes/texte, détail trop complexe. Un professionnel voit ces micro-déséquilibres en quelques secondes et corrige ce que l’œil ressent sans savoir l’expliquer. Tu gardes ton idée, mais elle passe de “bien pour commencer” à “crédible et assumable partout”.

Mockup d'un menu recto et verso d'un petit déjeuner pour la maison d'hôte de Sunset Serenata, le menu est écrit en espagnol-colombien, en français et en anglais. Cette image sert pour illustrer l'article de Sunsert Serenata ainsi que la page graphiste éco-responsable packaging

En clair : DIY possible… pro indispensable pour franchir le cap

Tu peux valider l’intention seul·e. Tu peux avancer avec un logo qui te dépanne. Mais pour passer de l’idée à un outil de marque fiable — celui qui tient partout, qui se décline sans effort, qui inspire confiance et te suit plusieurs années — l’intervention d’un professionnel fait gagner en clarté, en temps et en crédibilité. C’est moins un luxe qu’une assurance de ne pas recommencer à zéro dans un an.

N’hésite pas à me contacter pour qu’on parle de ton projet ;). 

Valentin, le fondateur de Pilea Studio, il porte un bonnet et un pull blanc, dans ses bras se tient un chat noir et blanc à poil long. Valentin nous regarde. Cette photo est utilisé pour la partie graphiste éco-responsable contact

Hello, c’est Valentin !

Après avoir commencé des études de graphisme en 2007, j’ai obtenu une maîtrise d’Arts plastiques à l’Université de Lille, puis un master en Design de la communication à Esupcom Paris.

J’ai ensuite travaillé pendant plusieurs années en tant que graphiste au sein de groupes tels que SNCF, The Walt Disney Company ou encore Free.

Sensible aux questions d’écologie, de préservation des ressources et de bien-être animal, j’ai décidé en 2022 de me lancer en freelance afin de collaborer avec des associations, des artisans et des petites et moyennes entreprises partageant mes valeurs.

Pilea Studio est implanté dans la métropole amienoise, et mes clients viennent de toute la France et du monde !